Grande bourgeoise pute a sodomiser hard

Oui, la chirurgie esthétique a fait des ravages mais à l’intérieur, le désir de sexe ardent, les envies de se faire déchirer la chatte et de se faire traiter de salope, sont intacts ! En effet, Marie-Claire, 59 ans, une grande bourgeoise niçoise conserve la même envie permanente de se faire niquer. La jouissance comme leitmotiv. Comme pour conjurer le sort et remonter la pente de l’âge. Le sexe comme cure de jouvence et la sodomie comme son bras armé … Parce qu’au cours de sa vie de bourgeoise libertine et épouse infidèle, elle a écumé les soirées coquines, les grosses partouzes où la cocaïne et le champagne abondaient. Divorcée, un peu reniée de son cercle social, elle a définitivement tourné le dos aux conventions sociales. Et l’argent lui permet de garder un train de vie de débauche et d’insouciance. Il est vrai que la rentière, avec ses 30 000 euros mensuels de revenus, plus ses actifs immobiliers, voit l’avenir sous un jour radieux. Voilà pourquoi la pute amatrice de zob dans le cul, vit à fond ses passions et ses fantasmes. En témoignent les photos de son dernier plan sodomie hard.
Dans un de ses appartements de Toulon, la bourgeoise blonde aux gros seins refaits accueille les étalons qui lui ruinent l’anus.

: En mode tigresse avec sa robe sexy

: Siliconée mais encore naturelle lorsqu’elle se fait sodomiser

: Ses gros seins refaits bougent à peine

: Démontée comme une pute sexe model, elle hurle et adore la sensation de plénitude dans son fion ravagé

Pourquoi notre bourgeoise salope aime autant se faire sodomiser hard ?

Autrefois, Marie-Claire jouait la fine bouche sur le plan sexuel. Fallait à tout prix qu’elle mène les débats et qu’elle domine. Cependant, avec le temps, la blonde chaude du cul a appris à accepter de se faire sodomiser comme un hobbie. En effet, elle a rencontré un amant qui savait exactement comment préparer le trou du cul de Marie. En léchant, en doigtant, en malaxant le contour de l’anus béant. Et au fur et à mesure des rencontres, le côté bestial, la face chienne de notre bourgeoise a émergé. Elle prenait un malin plaisir à se cambrer et offrir son cul rond la tête dans l’oreiller. Et elle susurrait et minaudait « Encule moi, sodomise moi hard … » Un peu honteuse au début, les premieres baises anales lui ont donné raison. Les orgasmes sont multipliés par 3. Jamais notre salope de bourgeoise n’avait éprouvé un tel nirvana sexuel. Alors, même si moralement, ça pouvait paraitre répréhensible, se faire sodomiser hard est devenu la norme pour la chienne. Sans capote, la bite à nu dans l’anus tourmenté de la blondasse mure travaille et ramone à fond.